« La SEPR m’a apporté énormément de choses. Il y a vraiment un apprentissage de qualité. Les profs sont au top parce qu’ils prennent le temps. Je suis fière d’avoir été à la SEPR. ».
Réceptionniste en hôtellerie ou encore conseillère en insertion professionnelle, Stéphanie enchaîne les formations et les postes avant de se réorienter finalement vers le milieu de la mode. Elle a toujours eu envie de faire de la couture mais elle n’a jamais osé se lancer. C’est suite à une blessure l’empêchant de continuer ses activités sportives qu’elle décide finalement de faire le premier pas. Elle s’est d’abord inscrite dans un cours de couture dans le centre social de sa ville avant d’intégrer la SEPR en CAP métiers de la mode vêtements flous en 2017. Elle décrit son année à la SEPR comme une très bonne expérience : « Grâce à la SEPR, je suis partie en stage en Italie où j’ai pu participer au Carnaval de Venise. ». Ayant déjà vécu plusieurs fois à l’étranger, la jeune femme avait déjà décidé, dès son premier jour à la SEPR, qu’elle ferait son stage hors de France. Le voyage en Italie lui permet de découvrir une façon différente de pratiquer, d’acquérir de nouvelles techniques et de travailler plus vite.
Aujourd’hui, Stéphanie est toujours en contact avec la SEPR. Quand elle revient, c’est comme si elle était chez elle. Elle est notamment présente durant les Erasmus Days pour partager son expérience avec les actuels apprenants.
« Pour moi c’est normal de donner de mon temps à la SEPR, vu tout ce qu’elle m’a apporté. Ce que j’apprécie, c’est que les profs me rappellent. J’aime bien pouvoir échanger avec les jeunes pour leur dire d’aller à l’étranger. J’aime dire aux gens que tout est possible, qu’il faut se donner les moyens. ».
Stéphanie a participé au concours « Osez ! » (anciennement Talents & Initiatives) à l’issue duquel elle a reçu une aide du Fonds Horizon SEPR pour financer son projet de création d’entreprise.
Aujourd’hui créatrice d'une entreprise de confection de vêtements de sport et de maillots de bain, elle voit ce projet comme un nouveau challenge. C’est d’une part le souhait d’allier ses deux passions - le badminton et la couture – et, d’autre part, la volonté de créer des vêtements adaptés à toutes les morphologies qui l’ont menée à se lancer dans cette voie.